Le visage en filigrane, posé sur des orchidées suggestives, Eumir Deodato nous invite sur l'île de l'amour.
Pour s'y rendre il suffit d'emprunter la ligne A du métro new-yorkais. Celle qui ramenait Billy Strayhorn jusque chez lui quand il composait pour Duke Ellington. En bout de ligne, le souffle grandit et la course s'arrête. Le groove du Brésilien te donne de la chaleur. Toute en finesse, la production rappelle les grandes heures de CTI, le label de Creed Taylor, quand Deodato y officiait comme clavier et arrangeur. Installé chez Warner, Eumir n'a rien oublié de la science de l'arrangement élégant. La sirène tinte. Les portes se referment derrière toi. C'est doux, c'est chaud. C'est la reprise !
Pour s'y rendre il suffit d'emprunter la ligne A du métro new-yorkais. Celle qui ramenait Billy Strayhorn jusque chez lui quand il composait pour Duke Ellington. En bout de ligne, le souffle grandit et la course s'arrête. Le groove du Brésilien te donne de la chaleur. Toute en finesse, la production rappelle les grandes heures de CTI, le label de Creed Taylor, quand Deodato y officiait comme clavier et arrangeur. Installé chez Warner, Eumir n'a rien oublié de la science de l'arrangement élégant. La sirène tinte. Les portes se referment derrière toi. C'est doux, c'est chaud. C'est la reprise !
Lp : Deodato - Love Island - Warner - 1978
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire