On est pas fier de nous vous savez... Mais cette passion pour le soft rock doit s'exprimer. On risque l'occlusion sinon.
On entend bien que le truc est limite. Qu'on a peut-être déjà basculé, malgré nous, dans le trop loin de la popouille proprette et aseptisé. Mais non. On entend aussi que ça groove. Qu'après l'intro inspirée, façon gospel blanc, le rhodes syncope et s'enjaille avec le petit clavier conquérant. Que les mélodies donnent envie de relever la tête et d'avancer en vainqueur. Enfin, nous, c'est ce qu'on entend...
Pour les plus aventureux, Gary Wright a aussi pondu ce genre de tubes pour pécho.
On entend bien que le truc est limite. Qu'on a peut-être déjà basculé, malgré nous, dans le trop loin de la popouille proprette et aseptisé. Mais non. On entend aussi que ça groove. Qu'après l'intro inspirée, façon gospel blanc, le rhodes syncope et s'enjaille avec le petit clavier conquérant. Que les mélodies donnent envie de relever la tête et d'avancer en vainqueur. Enfin, nous, c'est ce qu'on entend...
Pour les plus aventureux, Gary Wright a aussi pondu ce genre de tubes pour pécho.
LP : Gary Wright – The Dream Weaver - Warner Bross - 1975
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